Par Pierre Berville pour Causeur.
Adieu silhouettes graciles et poitrines délicates. C’en est fini des beautés fatales qui nous toisaient depuis l’Olympe de la perfection plastique. Pour vendre des cosmétiques ou de la lingerie, la publicité impose désormais les les défauts de l’ordinaire. Elle ne fait plus rêver, elle tend un miroir.