Pierre Berville, publicitaire et auteur de « La Ville des ânes », analyse : « Il y a eu une dégradation des slogans depuis les années 1980. L’anglais est devenu le nouvel esperanto, les publicitaires pensent que ça fait branché d’utiliser des jeux de mots avec des anglicismes, or c’est une fausse bonne idée. »
Lire la suite